BANVILLE (Théodore, de)

Les Princesses

Paris, Alphonse Lemerre, 1874

19 x 12,7  cm, broché, couverture imprimée, 88 pp.

Edition originale.

Envoi autographe signé de l'auteur à Louisa Siefert : "A Mademoiselle Louisa Siefert / Respectueux hommage de / Th. de Banville".

Frontispice gravé à l’eau-forte par Boilvin.

Broché tel que paru.

Belle recontre entre ces deux poètes admirés par Arthur Rimbaud ("Vous aviez l'air de vouloir connaître Louisa Siefert, quand je vous ai prêté ses derniers vers ; je viens de me procurer des parties de son premier volume de poésies, les Rayons perdus, 4e édition. J'ai là une pièce très émue et bort belle, Marguerite" (Lettre Georges Izambard du 25 août 1870)).

Théodore de Banville fit la connaissance de Louisa Siefert par l'entremise de Charles Asselineau. On dit qu'il ne fut pas insensible à ses charmes.

Dans son Petit Traité de poésie française, Théodore de Banville évoque la poésie de Louisa Siefert : "Après moi, et d’après moi, je crois, un poëte du plus grand mérite, Mlle Louisa Siefert, aborde aussi le Pantoum dans ses Rayons perdus".

750 €