L’AVIS DU LIBRAIRE
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Le recueil de Raymond Queneau le plus difficile à dénicher en grand papier, indispensable à tout bibliophile oulipien |
Bâtons, chiffres et lettres
Paris, Gallimard, 1950
In-12 (21 x 14,3 cm), broché, couverture crème grise imprimée en rouge et noir, 270 pp., 1 f. n. ch.
Édition originale.
Un des 8 premiers exemplaires numérotés imprimés Hollande van Gelder (avant 43 ex. sur vélin pur fil Lafuma-Navarre).
Conservé broché, avec ses grands témoins (infimes rousseurs à une poignée d'entre eux), sous étui-chemise signé de Pierre Mercier.
Provenance : Bibliothèque Pierre Mercier (ex-libris encollé sur le premier feuillet blanc)
Extraordinaire recueil de textes, pour les premiers inédits, témoignant de la diversité des centres d'intérêt et de l'érudition de Raymond Queneau, comprenant des textes sur le langage, la typographie, les pictogrammes, les mathématiques, des critiques littéraires, des hommages, des préfaces, etc.
Sommaire : Préliminaires (Écrit en 1937, Technique du roman, Conversation avec Georges Ribemont-Dessaignes, Langage académique, On cause, Connaissez-vous le chinook ?, Il pourrait sembler...), Préfaces à Bouvard et Pécuchet de Gustave Flaubert, Moustiques de William Faulkner, Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, Rendez-vous de juillet de Jean Quéval, Lectures pour un front, Hommages (La Symphonie inachevée, Une belle surprise, Une traduction en joycien, Jacques Prévert (poème), Pour recevoir Caldwell à Paris, Fantômas, Defontenay), Graphies (Délire typographique, What a life !, Pictogrammes, Miro ou le poète préhistorique), Maths (La Dialectique des mathématiques chez Engels, Sur la cinématique des jeux, La Place des mathématiques).
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